vendredi 4 décembre 2009
mercredi 19 août 2009
samedi 28 mars 2009
vendredi 13 mars 2009
vendredi 6 mars 2009
Cadeau d'anniversaire
lundi 16 février 2009
mercredi 11 février 2009
samedi 31 janvier 2009
samedi 24 janvier 2009
mardi 13 janvier 2009
de Dani, une phrase de Marcel Proust :
"l'une des fontaines était pleine d'une lueur rouge et dans l'autre déjà le clair de lune rendait l'eau de la couleur d'une opale..."
toujours de Dani, une autre phrase de Proust calligraphiée à l'encre blanche sur une ardoise ! "Les toits, mouillés d’une ondée intermittente, laissent glisser en roucoulant une goutte de pluie et lissent au soleil momentané qui les irise leurs ardoises gorge-de-pigeon"
de Marie-Pierre Brot
d'Ursu
de Piggy
"l'une des fontaines était pleine d'une lueur rouge et dans l'autre déjà le clair de lune rendait l'eau de la couleur d'une opale..."
toujours de Dani, une autre phrase de Proust calligraphiée à l'encre blanche sur une ardoise ! "Les toits, mouillés d’une ondée intermittente, laissent glisser en roucoulant une goutte de pluie et lissent au soleil momentané qui les irise leurs ardoises gorge-de-pigeon"
de Marie-Pierre Brot
d'Ursu
de Piggy
dimanche 4 janvier 2009
Année nouvelle...
La chambre est pleine d'ombre ; on entend vaguement
De deux enfants le triste et doux chuchotement.
Leur front se penche, encore alourdi par le rêve,
Sous le long rideau blanc qui tremble et se soulève...
- Au dehors les oiseaux se rapprochent frileux ;
Leur aile s'engourdit sous le ton gris des cieux ;
Et la nouvelle Année, à la suite brumeuse,
Laissant traîner les plis de sa robe neigeuse,
Sourit avec des pleurs, et chante en grelottant...
[...]Oh ! que le jour de l'an sera triste pour eux !
- Et, tout pensifs, tandis que de leurs grands yeux bleus,
Silencieusement tombe une larme amère,
Ils murmurent : "Quand donc reviendra notre mère ?"
........................................................
Les Étrennes des Orphelins (1869)
De deux enfants le triste et doux chuchotement.
Leur front se penche, encore alourdi par le rêve,
Sous le long rideau blanc qui tremble et se soulève...
- Au dehors les oiseaux se rapprochent frileux ;
Leur aile s'engourdit sous le ton gris des cieux ;
Et la nouvelle Année, à la suite brumeuse,
Laissant traîner les plis de sa robe neigeuse,
Sourit avec des pleurs, et chante en grelottant...
[...]Oh ! que le jour de l'an sera triste pour eux !
- Et, tout pensifs, tandis que de leurs grands yeux bleus,
Silencieusement tombe une larme amère,
Ils murmurent : "Quand donc reviendra notre mère ?"
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Les Étrennes des Orphelins (1869)
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